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Une critique du rpg hilarant Nobody Saves the World.

Si vous avez commencé à jouer à ce jeu hilarant de DrinkBox Studios, vous pouvez être sûr à cent pour cent que vous ne vous arrêterez pas avant d’avoir terminé tous les niveaux. Parce que Guacamelee est tellement addictif, vous voudrez essayer de le jouer niveau par niveau pour voir quelles autres surprises les développeurs vous réservent dans Nobody Saves the World.

De la forme à la forme

Nobody Saves the World n’est pas seulement un RPG de combat, mais un projet de jeu très inhabituel qui contient une bonne dose de parodie et d’humour. Les développeurs se moquent délicatement des classiques du genre comme Diablo.

Le protagoniste du jeu, un homme nommé Nobody, est une créature pathétique qui doit évoluer afin de sauver le monde. Sa mission : trouver le grand sorcier absent Nostramagus. Parce que seul un sorcier peut arrêter l’Onslaught, une entité malveillante qui a l’intention de consommer toute vie.

Le Nostramagus est capable de se transformer en diverses créatures. Au total, 17 formes sont disponibles : rat, zombie, culturiste transpirant à grosses gouttes, robot militaire… Chaque forme possède des caractéristiques individuelles : santé, mana, vitesse de déplacement. Certaines capacités de forme sont uniques. Par exemple, seuls les rats peuvent pénétrer dans des passages étroits, tandis que seules les sirènes et les tortues peuvent nager. Mais les développeurs n’ont pas tenu compte de la possibilité de voler. Le dragon et le fantôme l’ont, mais ils ne peuvent voler qu’au-dessus de l’eau, et leurs autres caractéristiques, comme la résistance au poison, sont très faibles.

Au début du jeu, chacune des formes possède un ensemble de capacités très limité. Celle-ci est étendue au fur et à mesure que le jeu progresse. Améliorez les formes en accomplissant des quêtes. La spécificité du jeu est que pour réussir, le joueur devra utiliser tous les formulaires. Il n’est pas possible de passer le jeu sur un seul d’entre eux.

Nobody Saves the World est un jeu rpg pour PC.

Des donjons aux jungles dans Nobody Saves the World.

Chaque niveau de jeu offre des lieux uniques : des donjons semblables à ceux de Diablo, un terrain vague radioactif, le royaume des morts, la jungle, etc. Vous ne vous ennuierez pas dans aucun des lieux, car les créateurs les ont généreusement peuplés de monstres, et y ont placé de nombreux secrets. Ouvrez ce dernier pour réapprovisionner l’argent du jeu et le mana. En outre, le joueur a la possibilité de rejoindre l’une des guildes : les mages, les guerriers ou les chevaliers. Cela permet au joueur d’accomplir des quêtes supplémentaires, chacune d’entre elles étant un mini-jeu passionnant.

Quant aux ennemis, les développeurs ont fait de leur mieux. Les monstres font preuve d’une grande ingéniosité dans leur intention de prendre la vie du protagoniste. Leurs armes : des membres, des dents, et même des yeux, d’où certains monstres parviennent à tirer. Ce qui rend le jeu si excitant, c’est que les monstres ne peuvent pas être détruits facilement. Vous devez d’abord détruire les boucliers spéciaux qui protègent les créatures maléfiques. Pour la destruction des boucliers et nécessite un pompage maximal de toutes les entités du protagoniste.

Là où les créateurs n’ont pas bien travaillé, c’est dans les niveaux de boss. Un seul d’entre eux est exclusif, et tous les autres sont des versions renforcées et améliorées de certains monstres du jeu.

Humour et ambiance du jeu.

Les graphismes du jeu sont tout à fait dignes d’éloges. Les graphismes sont colorés, détaillés et intelligemment conçus.

Il est impossible de ne pas mentionner l’intéressant sens de l’humour des auteurs du scénario. Ils font en sorte que le protagoniste devienne un cheval pour accomplir l’une des missions et qu’il ait une liaison avec un étalon, ou qu’il aide une limace par nécromancie à ressusciter sa parente. Le jeu comporte également un grand nombre d’hommages très reconnaissables à de nombreux jeux informatiques célèbres.